La Nouvelle-Aquitaine plébiscitée par les touristes

La Nouvelle Aquitaine plébiscitée par les touristes


La dernière étude de l’INSEE consacrée à la saison estivale 2021 montre que la région a représenté la première destination touristique de France.

plage de lacanau
La plage de Lacanau a pu profiter d’une belle fréquentation – Crédit photo : Tuacar – CC BY-SA 4.0

Près de 40 millions de nuitées

Il ne s’agit bien sûr pas de compétition, mais la Nouvelle-Aquitaine s’est hissée mine de rien à la première place des destinations touristiques estivales, avec 38,8 millions de nuitées, battant sur le fil la région Occitanie, qui dépasse tout juste les 38 millions.

Ce sont les campings qui tirent allègrement leur épingle du jeu, avec 24 millions de nuitées, suivis par les hôtels (8 millions) et les autres hébergements collectifs (7 millions).

Si les chiffres redonnent le sourire aux professionnels, ils se situent néanmoins en deçà de ceux enregistrés en 2019, avant la crise sanitaire (-7 %). Certaines régions co

Le littoral privilégié

La Charente-Maritime a séduit le plus grand nombre de touristes (6,5 millions de nuitées), devant les Landes (6 millions) et la Gironde (5,8 millions). Bref, les départements offrant de belles plages océanes ont suscité la plus forte envie chez les vacanciers. La Dordogne, pourtant réputée pour son patrimoine et sa gastronomie, doit se contenter de 2,9 millions de nuitées.

De la même manière, le tourisme urbain régresse sensiblement dans le Sud-Ouest par rapport à 2019. Les hôtels de Bordeaux affichent une baisse de 6,5 % de leur fréquentation et ceux de Pau doivent faire face à un rabotage de 8,3 %.

Enfin, l’étude de l’Insee indique que les touristes français ont constitué le gros des troupes, à 85 %. Les contraintes sanitaires ont rebuté les Britanniques et les Espagnols. Les Néerlandais et les Belges se sont plus massivement déplacés, sans doute impatients de contempler un coucher de soleil sur l’océan Atlantique.

La sculpture Sanna se sent bien à Bordeaux

La sculpture Sanna se sent bien à Bordeaux


Installée Place de la Comédie depuis 2013, la création de l’artiste Jaume Plensa va rester jusqu’en 2027.

la sculpture sanna à Bordeaux
Sanna est devenue incontournable à Bordeaux – Crédit photo : on_the_go_98765 – TripAdvisor

Une présence parfois mouvementée

Mine de rien, l’impressionnante sculpture réalisée par l’espagnol Jaume Plensa s’est adaptée à son environnement bordelais presque naturellement. On n’ose imaginer la Place de la Comédie sans sa présence, devenue évidente pour les habitants, participant à sa manière à l’identité de la capitale girondine.

Sanna (puisque c’est son nom) a été érigée en 2013, lors d’une exposition à ciel ouvert consacrée au sculpteur catalan. L’évènement a permis d’exposer dix autres sculptures dans différents endroits de la ville, suscitant l’enthousiasme du public.

Particulièrement appréciée, la sculpture représentant le visage d’une jeune femme n’a pas été déboulonnée au terme de l’exposition. En 2014, la mairie se dit prête à l’acquérir et puise 300 000 € dans le budget municipal, un montant pourtant insuffisant (l’œuvre est estimée entre 400 et 500 000 €).

L’idée consiste dès lors à lancer une souscription auprès des donateurs pour compléter l’enveloppe. Mais sur les 150 000 € escomptés, seuls 54 000 € sont réunis.

La mairie se résout donc à renvoyer la sculpture à son créateur, mais un généreux mécène (toujours anonyme aujourd’hui) l’acquiert et décide de procéder à une donation d’usufruit au bénéfice de la Ville pour sept ans.

Arrivée à échéance, la donation est une nouvelle fois prolongée, cette fois pour une durée de cinq ans. Les Bordelais pourront continuer à admirer Sanna jusqu’en 2027.

« La statue monumentale s’est imposée facilement sur l’espace public, appartenant même désormais au patrimoine touristique et culturel de la ville », reconnaît la municipalité.

L’envoûtante créature

Il est difficile de rester insensible à la quiétude qu’inspire la sculpture. Sanna ne peut qu’attirer l’œil et susciter de nombreuses interrogations, dès lors qu’on l’observe en se déplaçant.

L’œuvre représente un visage féminin, haut de 7 mètres. Réalisée en fonte de fer, qui lui donne cette couleur si particulière, elle semble s’être imposée comme la gardienne silencieuse de la Place de la Comédie.

« La brutalité de la matière conjuguée à la finesse des traits contraste avec l’imposante architecture classique de l’Opéra (le Grand Théâtre de Bordeaux) en arrière-plan, tout en se fondant dans le paysage. Pour qui sait l’admirer, Sanna appelle à la sérénité, comme une pause intérieure, au carrefour de la frénésie qui s’échappe des artères commerçantes que sont la rue Sainte-Catherine et le Cours de l’Intendance » écrit fort joliment Blanche de Balincourt sur le site Spots Bordeaux.

Sanna est l’œuvre du sculpteur catalan Jaume Plensa, dont les sculptures s’exposent à travers le monde. On lui doit notamment Spiegel, au Yorkshire Sculpture Park en Angleterre, ou encore Wonderland, à Calgary au Canada.

Pour lui, « la sculpture ignore la fiction. Elle n’est pas affaire de matériaux mais d’émotion. Elle n’est pas affaire de volume ou d’espace, mais de temps. »

Le phare de Cordouan inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO

Le phare de Cordouan inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO


Inauguré en 1611, le célèbre phare guide les navires à l’entrée de l’estuaire de la Gironde depuis plus de 400 ans.

phare de cordouan au soleil
Le roi des phares, dans toute sa majesté. Crédit photo: Polodup – Own work – CC BY-SA 4.0

Un projet voulu par le roi Henri III

Sécuriser la voie maritime vers Bordeaux, cité commerciale et port de premier plan, s’avère rapidement indispensable. Ainsi, dès le 14e siècle, le prince d’Aquitaine ordonne la construction sur l’île de Corduan d’une tour à feu.

Trois siècles plus tard, le bâtiment tombe en ruine et les naufrages de bateaux se multiplient. Henri III charge donc l’architecte Louis de Foix de concevoir, en lieu et place, une tour impressionnante, symbole du pouvoir royal.

Hélas, la difficulté du chantier, le coût des travaux et les guerres de religion retardent l’érection du phare. Le projet est cependant maintenu par Henri IV.

En 1611, près de 30 ans après le début des travaux, le phare de Cordouan est enfin inauguré. Sa hauteur s’établit à 37 mètres.

En 1780, une nouvelle vague de travaux est lancée, permettant de surélever l’édifice d’une vingtaine de mètres afin d’offrir une meilleure visibilité aux marins.

le phare de Cordouan avant et après son élévation.
Le phare de Cordouan avant et après son élévation.

La reconnaissance mondiale de l’UNESCO

Espérée depuis déjà quelques années, l’inscription du phare de Cordouan au patrimoine de l’UNESCO est finalement intervenue le 24 juillet dernier.

Créée en 1946, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’UNESCO suit la mission d’instaurer la paix dans le monde par l’éducation, la science et la culture. En 2020, plus d’un millier de sites est inscrit au titre du patrimoine mondial, dont 45 en France.

« Le patrimoine est l’héritage du passé dont nous profitons aujourd’hui et que nous transmettons aux générations à venir » indique d’ailleurs l’UNESCO.

Le dossier de candidature soumis à l’organisation internationale a fait valoir la prouesse architecturale du phare, bâti dans un périmètre marin difficile, mais pourtant doté d’une grande beauté, digne des anciennes merveilles du monde.

La ministre de la Mer a salué dans un communiqué « une victoire pour le patrimoine maritime français. Mais elle implique une grande responsabilité, celle de continuer à préserver ce site exceptionnel pour les générations futures (…) Après avoir guidé des milliers de marins et leurs embarcations, ce phare continue de symboliser le génie français et possède une place à part dans notre patrimoine maritime national. »

Un sursaut touristique attendu

Toujours en activité, le phare de Cordouan reçoit chaque année près de 25 000 visiteurs, qui croisent les deux gardiens chargés de l’entretien des lieux, mais aussi de l’accueil du public.

La barge de débarquement des touristes pour le phare de Cordouan
La barge de débarquement des touristes pour le phare de Cordouan en manœuvre sur le plateau à marée basse – Crédit photo: AYE R – Own work – CC BY-SA 4.0

L’inscription du site au patrimoine mondial de l’UNESCO contribuera sans doute à augmenter la fréquentation et donc le budget dédié à son fonctionnement. Car si la reconnaissance du phare promet de belles perspectives touristiques, elle ne s’accompagne d’aucune subvention ni d’aucun avantage. En revanche, l’environnement reste préservé (pas d’éolienne à proximité, par exemple) et le phare profite d’une politique de conservation constante. La dernière vague de travaux vient d’ailleurs de se terminer.

Surnommé le « Versailles de la mer » ou le « roi des phares », le magnifique édifice de Cordouan promet d’imposer encore longtemps son impressionnante architecture à tous ceux qui l’approchent.

La Gironde autrement

La Gironde autrement


Conçu par le Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne et l’agence de voyages Chemins Solidaires, le programme « La Gironde autrement » propose une semaine d’immersion en pleine nature.

gorges du ciron en gironde
La beauté sauvage des gorges du Ciron – Crédit photo :  Lamiot – Own work – CC BY-SA 4.0

La volonté d’un tourisme durable

Dans son interview accordé à l’Écho Touristique en mars dernier, Anthony Demel, directeur général adjoint du Comité régional de tourisme de Nouvelle-Aquitaine, insistait sur l’ambition de la région en matière de tourisme durable.

Son discours s’appuie d’ores et déjà sur des actions concrètes, menées localement. Ainsi, le Cercle des Imaginaterres, constitué cette année, cherche à consolider et élargir le réseau des acteurs d’écotourisme en territoire Landes de Gascogne. Le souhait est de sensibiliser les partenaires institutionnels et prestataires touristiques à la démarche environnementale entourant l’accueil du public, loin du tourisme de masse.

logo du cercle imaginaterres
Le cercle des Imaginaterres où le souci d’un tourisme durable.

C’est dans cette logique que s’inscrit le programme « La Gironde autrement », élaboré par les représentants du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne et l’agence Chemins Solidaires.

L’objectif est de proposer aux vacanciers un séjour original, dépaysant, au plus profond du Sud Gironde.

Six jours pour tout oublier

Il est vrai que le département, le plus vaste de France, offre de multiples opportunités de découvertes et de sensations. Loin des plages océanes surfréquentées, le périple concocté par Chemins Solidaires invite les touristes à vivre la pleine aventure, ponctuée d’étapes et de rencontres.

Organisé sur une période de six jours, le séjour commence par la prise de possession des vélos et une chouette balade à travers forêts et vignes, qui précèdent une halte méritée au château de Roquetaillade. À quelques petits kilomètres, l’hébergement insolite installé au cœur d’un airial tend ses bras pour la soirée et la nuit.

Le deuxième jour ouvre la voie vers le village médiéval d’Uzeste et le château royal de Cazeneuve, propriété du roi Henri IV. La forêt de bambous du parc vaut, paraît-il, le coup d’œil, tout comme la grotte en contrebas, où la reine Margot recevait, paraît-il, ses amants.

château de Cazeneuve
Classé au titre des monuments historiques, le château royal de Cazeneuve constitue l’une des étapes du périple – Crédit photo : Pline — Travail personnel – CC BY-SA 3.0

Si le troisième jour commence par une courte randonnée en vélo, il se poursuit par une longue balade en canoé, à la conquête des gorges du Ciron. La zone se veut très sauvage, royaume de la tortue cistude ou de la loutre.

Après le vélo et le canoé, pourquoi ne pas se frotter au traineau ? C’est effectivement le programme du quatrième jour : une cani-rando avec un musher et ses chiens nordiques. Il est fortement conseillé de s’occuper des toutous avant et après l’escapade.

L’aventure canine se poursuit d’ailleurs le lendemain matin. L’après-midi est libre. L’occasion de se détendre au camp de base ou d’envisager une baignade dans le Ciron.

Le dernier jour réserve son lot de surprises, après une belle randonnée à vélo dans le Sauternais. À toute proximité du château Rayne-Vigneau, l’hôte attend ses invités pour une dégustation perchée à la cime d’un cèdre bicentenaire. Le plaisir intense de profiter d’un Sauternes en profitant d’une vue magnifique sur le vignoble.

Pratique :

Tél: 06 50 72 37 90
Web: www.detours-inconnus.fr/la-gironde-autrement/

Terra Aventura, du géocoaching ludique pour découvrir la région

Terra Aventura, du géocoaching ludique pour découvrir la région


Depuis une dizaine d’années, le Comité régional du tourisme de Nouvelle-Aquitaine, appuyé par les structures départementales, organise une vaste chasse aux trésors à travers 400 parcours.

affiche promotionnelle du jeu terra aventura en nouvelle-aquitaine
En forêt, en montagne, sur les bords de mer, dans les villages… Une seule mission: trouver le QR code – Crédit photo: Terra Aventura

Les Poï’z sont vos amis

Autant se l’avouer : la chasse aux trésors excite les enfants et amusent les parents. En Nouvelle-Aquitaine, ce postulat a permis de lancer le concept Terra Aventura en 2011.

Terra Aventura s’inspire du géocoaching pour proposer au public de nombreuses balades au gré des 400 parcours disséminés en Nouvelle-Aquitaine.

Muni d’un smartphone et de l’application gratuite, chacun est invité à résoudre les nombreuses énigmes et à retrouver les indices, tout le long d’un chemin de quelques kilomètres. Tout QR code trouvé doit être scanné, c’est une étape indispensable pour valider son parcours et devenir progressivement un véritable aventurier.

L’application, en plus de poser les questions auxquelles il faut répondre et de fournir une cartographie complète des lieux, donne vie à de curieux personnages, les Poï’z.

Les Poï’z sont de petits personnages virtuels, bavards et au caractère bien trempé. Chaque Poï’z symbolise la thématique de la balade : Zouti est intarissable sur le savoir-faire, Zarthus est un amoureux de la nature, Zéfaim promeut la gastronomie locale. Des compagnons de route indispensables.

les poïz's
Les Poïz’s

Promouvoir les sites naturels et le patrimoine local

Les organisateurs profitent de la diversité des paysages et de la richesse patrimoniale de Nouvelle-Aquitaine pour proposer des centaines de parcours.

Si le souhait est d’abord d’offrir une réelle opportunité de loisirs, le concept de Terra Nova cherche à privilégier un tourisme différent, plus culturel. Les thématiques se veulent éclectiques, des contes et légendes en passant par le pastoralisme ou la sylviculture.

Ainsi, les 400 parcours disponibles ouvrent la voie vers le château de Boussac en Gironde, le village de Beaumont-du-Périgord en Dordogne ou encore le pont-canal d’Agen, dans le Lot-et-Garonne.

Le succès semble être au rendez-vous puisque plus de 3 millions de personnes se sont laissées séduire. De nouveaux parcours enrichissent le programme chaque année.

Terra Aventura reste entièrement gratuite et ouverte tout au long de l’année.

Prêt pour l’aventure ?

La campagne de promotion de la Nouvelle-Aquitaine est lancée !

La campagne de promotion de la Nouvelle Aquitaine est lancée !


Malgré les confinements et couvre-feux successifs, le Comité régional de Tourisme de Nouvelle-Aquitaine se met en ordre de bataille pour séduire les vacanciers provinciaux et franciliens.

affiche de prmotion touristique de la nouvelle aquitaine
L’une des affiches appelées à venir égayer les stations de métro – Crédit photo: CRT Nouvelle-Aquitaine

En avant toute !

Pour le CRT de Nouvelle-Aquitaine, pas question de se laisser abattre par le désarroi et la lassitude nés de la crise sanitaire. L’institution estime bien au contraire que les touristes auront besoin cet été, plus que jamais, d’évasion, de repos, de soleil, de découvertes et de plaisirs partagés.

C’est la raison pour laquelle elle lance actuellement une ambitieuse campagne de promotion auprès des vacanciers du pays, et plus spécifiquement auprès des Franciliens.

La douche froide liée à l’annonce de nouvelles restrictions annoncées par le Chef de l’État pour les vacances de Pâques constitue certes un revers pour les professionnels du tourisme.

Mais il est à souhaiter que les campings, hôtels, centres de vacances et restaurants puissent ouvrir leurs portes sitôt les beaux jours installés.

Une promotion touristique multisupport

Encouragé par le succès de la campagne lancée en 2017, le Comité régional de Tourisme déploie un dispositif promotionnel volontariste.

La première phase consiste à faire appel à des influenceurs d’Internet (YouTube, Instagram, Facebook…), chargés de vanter les mérites de la région et de ses multiples destinations.

C’est aussi une campagne d’affichage dans le métro parisien, un vecteur de communication qui semble porter ses fruits puisque les sites Internet des partenaires triplent leur fréquentation. Toujours ça de pris.

affiche de promotion des jardins sothys en dordogne
Les jardins Sothys mis à l’honneur pour promouvoir la Nouvelle-Aquitaine – Crédit photo: CRT Nouvelle-Aquitaine

Le marketing de rue entre dans la stratégie de communication, grâce à l’intervention de la Maison de la Nouvelle-Aquitaine à Paris, chargée de séduire le public dans les gares à travers diverses opérations et d’organiser deux parcours de chasse au trésor dans les rues de la capitale.

Enfin, plusieurs spots publicitaires sont diffusés sur les principales chaînes françaises, dans un souci de toucher un plus large public.

Renouvellement des Chèques Solidarité Tourisme

Le directeur général adjoint du CRT de Nouvelle-Aquitaine, Anthony Demel, l’avait envisagé lors de son interview dans la revue l’Écho Touristique. C’est aujourd’hui chose faite.

Le dispositif des Chèques Solidarité Tourisme, initié à la suite du premier confinement, sera une nouvelle fois proposé cette année. Le souhait est d’aider les familles les plus modestes à passer leurs vacances en Nouvelle-Aquitaine.

« Il s’agit de familles populaires et moyennes qui en ont besoin pour se payer des vacances. Près de 24 000 foyers en ont bénéficié en 2020, soit un apport de 220 euros en moyenne. Et 80 % de ces familles ne seraient pas parties sans ce dispositif » explique Sandrine Derville, vice-présidente de la Région en charge du Tourisme, interrogée par Sylvain Petitjean dans Sud-Ouest (02/04/2021).

Certes, le montant alloué par la Région ne dépasse pas le million d’euros (contre 2 millions l’année dernière), mais les discussions se poursuivent avec les départements afin de gonfler l’enveloppe. L’aide de l’État est aussi espérée.

Cette année, plus de 200 opérateurs aquitaniens (hébergement, loisirs, visites…) s’ouvriront au dispositif des Chèques Solidarité Tourisme.